où cette fois le sel est celui "dans la citrouille", donc le proverbe doit être lu métaphoriquement comme "celui qui a du jugement devrait l'utiliser !
La taverne Sciapò est née pour raconter des histoires de bonne chère. Et comme tout conte de fées, il commence par « il était une fois ».
L'osteria Sciapò nasce per raccontare storie di buona cucina. E come ogni favola, ha inizio con "c'era una volta" .
Hé bien oui! Notre cuisine, la cuisine sicilienne, a des origines très anciennes et est le résultat de diverses dominations, notamment arabes et normandes et de l'influence du célèbre monsù des familles patriciennes. Certains plats sont de véritables icônes du monde comme les cannoli, les iris, la martorana, l'arancine, la norme, etc. C'est un retour du passé. Chaque recette de notre carte est une manière de raconter une histoire, un voyage de goûts et d'arômes, une débauche de saveurs. Comme dans chaque histoire, il y a les protagonistes, c'est-à-dire les principaux ingrédients qui, se rencontrant, nous donnent dans chaque recette une histoire fascinante, c'est-à-dire le processus et les rebondissements que chaque personne et chaque famille gère avec ses secrets. transmettre. PAS SEULEMENT UN MENU C'EST UNE HISTOIRE DE GOÛT ET DE DOUX SOUVENIRS Eh bien, nous racontons notre histoire comme ceci
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La Sicile a tout pour plaire : histoire, paysages, culture et bonne cuisine. Pour découvrir les délices de cette terre, il suffit de parcourir ses magnifiques rues et de croiser la délicieuse cuisine de rue sicilienne. Commençons par... Arancino ou arancina ? C'est le dilemme ! Considéré comme la cuisine de rue sicilienne par excellence, l'arancino ou arancina. A Palerme c'est féminin !!!! Si vous visitez Palerme, vous ne pouvez pas manquer de goûter la célèbre "Panelle", une fine feuille de pâte de forme variable, frite dans de l'huile bouillante et de petite taille, qui est devenue au fil des siècles une icône de la cuisine de rue sicilienne. On raconte que les Arabes connaissaient bien la technique de broyage des légumineuses : ils obtenaient une farine à laquelle ils ajoutaient de l'eau et le mélange était ensuite cuit dans des fours verticaux. Ce sont ensuite les Angevins, plus tard, qui expérimentèrent la friture. À partir des écrits du spécialiste des traditions populaires siciliennes Giuseppe Pitrè, nous découvrons qu'au XIXe siècle les panelle étaient appelées "piscipanelli" (poisson panella) parce qu'elles se caractérisaient par une forme ovale qui rappelait celle du poisson, donnant ainsi l'illusion de les Palermitains de la classe populaire pour manger du poisson frit (dans le passé la prérogative seulement des riches). Panella, en fait, est née comme un aliment pauvre et simple pour nourrir les pauvres ; mais c'est là, dans la grande Palerme, que cette galette de pois chiches a fait son chemin au fil des siècles pour devenir la reine de la street food Si la reine des marchés de Palerme est la panella, sachez qu'elle va de pair avec le cazzilli. En fait, dans les marchés et les ruelles historiques du vieux Palerme, « u paninu cu i panelli ei cazzilli » triomphe.
La Sicile a tout pour plaire : histoire, paysages, culture et bonne cuisine. Pour découvrir les délices de cette terre, il suffit de se promener dans ses magnifiques rues et de croiser la délicieuse cuisine de rue sicilienne. Commençons par... Arancino ou arancina ? C'est le dilemme ! Considéré comme la cuisine de rue sicilienne par excellence, l'arancino ou arancina. A Palerme c'est féminin !!!! Si vous visitez Palerme, vous ne pouvez pas manquer de goûter la célèbre "Panelle", une fine feuille de pâte de forme variable, frite dans de l'huile bouillante et de petite taille, qui est devenue au fil des siècles une icône de la cuisine de rue sicilienne. On raconte que les Arabes connaissaient bien la technique de broyage des légumineuses : ils obtenaient une farine à laquelle ils ajoutaient de l'eau et le mélange était ensuite cuit dans des fours verticaux. Ce sont ensuite les Angevins, plus tard, qui expérimentèrent la friture. À partir des écrits du spécialiste des traditions populaires siciliennes Giuseppe Pitrè, nous découvrons qu'au XIXe siècle les panelle étaient appelées "piscipanelli" (poisson panella) parce qu'elles se caractérisaient par une forme ovale qui rappelait celle du poisson, donnant ainsi l'illusion de les Palermitains de la classe populaire pour manger du poisson frit (dans le passé seulement l'apanage des riches). Panella, en fait, est née comme un aliment pauvre et simple pour nourrir les pauvres ; mais c'est là, dans la grande Palerme, que cette crêpe aux pois chiches a fait son chemin au fil des siècles pour devenir la reine de la street food Si la reine des marchés de Palerme est la panella, sachez qu'elle va de pair avec le cazzilli. En fait, dans les marchés et les ruelles historiques du vieux Palerme, « u paninu cu i panielli ei cazzilli » triomphe.
(cubes d'aubergines à la sauce tomate, céleri, olives, câpres et vinaigre) Symbole de culture et de tradition, la caponata sicilienne est l'un des plats les plus représentatifs de l'île.
En Sicile, « U SFINCIONI » n'est pas une simple recette mais le prétexte d'une rencontre ou de l'histoire de milliers et de milliers de familles siciliennes qui se rassemblent encore la nuit de l'Immaculée Conception ou tout autre jour pour dire « Ni viremu e facemu antique ». ri sfinciuni” !!!
Gluten
Lait
Poisson
PUMARUORU ET MOZZARELLA9,00 €
PUMARUORU, MOZZARELLA ET FRITES9,00 €
Un SFINCIUNI (sauce sfincione à la tomate, oignon, anchois, origan)9,00 €